GIERSA, Groupe interuniversitaire d’études et de recherches sur les sociétés africaines

Groupe interuniversitaire d’études et de recherches sur les sociétés africaines

PARTENAIRES

Université Laval Université de Montréal Université du Québec à Montréal

Le GIERSA bénéficie du programme « Soutien aux équipes de recherche » du
Fonds de recherche Société et culture, gourvernement du Québec

Nos diplômé.e.s

Geneviève THERRIEN a été étudiante à la maîtrise en science politique à l'Université du Québec à Montréal, sous la direction d’Issiaka Mandé. Titulaire d'un baccalauréat en communication et d'un certificat en coopération internationale, elle a obtenu divers postes en tant que coordonnatrice dans le milieu du volontariat international et du recrutement d'élèves et de talents internationaux. Elle s'intéresse particulièrement au développement international, aux partenariats internationaux et aux divers enjeux de l'immigration. Son thème de recherche est : "Épreuves de l'immigration vécues par les couples originaires d'Afrique subsaharienne francophone".

Étudiante à la maitrise bi-disciplinaire en droit international et politique internationale à l’Université du Québec à Montréal, Rihab BIDAR a rédigé un mémoire sous la direction d'Issiaka Mandé, portant sur la situation au Sahara occidental de 1975 à aujourd’hui sous une perspective du droit international. Titulaire d’un baccalauréat en science politique concentration relation internationale, elle s’intéresse particulièrement à l’évolution du droit international dans les conflits internationaux et aux questions liées aux réfugiés. Elle occupe présentement un poste au sein de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada.

Marlyn HUARD est étudiante à la maîtrise en science politique bidisciplinaire (politique internationale/droit international) à l’Université du Québec à Montréal. Titulaire d’un baccalauréat en science politique, obtenu à l’Université du Québec à Montréal, elle a réalisé sous la direction d' Issiaka Mandé son travail dirigé de fin d’étude qui porte sur « Les nouveaux enjeux du conflit sur le partage des eaux du Nil ». Elle s’intéresse particulièrement à la politique diplomatique mise en place, aux rapports que l’on peut observer entre les États tant au niveau régional qu’international pour gérer le conflit nilotique.

Diplômée d’une maîtrise Éthique et droits humains obtenue à l’Université de Strasbourg, Claudia NAMESSI a obtenu une maîtrise bi-disciplinaire de droit international et politique internationale à l’Université du Québec à Montréal. Son travail de recherche s’ est effectué sous la direction d’Issiaka Mandé et porte sur l’action des sociétés coopératives et des institutions politiques sur le développement économique et social au Togo. Ses intérêts de recherche sont les enjeux liés au développement endogène et au rôle politique des organisations de la société civile en Afrique de l’Ouest.

Diplômée d'un Master en Communication de l'Ecoles des Techniques Internationales de Commerce, de Communication et des Affaires de Dakar au Sénégal, T. Aissatou DIALLO dirige le Service de Communication du Ministère Guinéen de l'Enseignement Supérieur depuis 2014. Passionnée de Communication publique, son projet de thèse, dirigé par Charles Moumouni est intitulé : Discours public et construction de la citoyenneté : Cas de la République de Guinée. Il vise à contribuer à la légitimation de la relation de confiance entre les citoyens et les acteurs publics

Iris NTORE  a obtenu une maîtrise en sociologie à l’Université Laval sous la supervision de Richard Marcoux. Son mémoire de recherche porte sur les pratiques linguistiques des immigrants d’origines burundaises, camerounaises et sénégalaises au Québec.
Thèmes de recherche : sociolinguistique, sociologie de l’immigration, dynamiques sociolinguistiques au Burundi, Cameroun et Sénégal.

Anne-Marie PILOTE est titulaire d’une maîtrise en communication publique de l’Université Laval. Ses travaux de recherches portent sur l’appropriation des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le processus d’autonomisation des femmes d’Afrique de l’Ouest. Elle intervient régulièrement dans des conférences de même que dans les médias sur la question de la légitimité des politiques publiques en matière de TIC selon une perspective genre. Directeur de mémoire : Charles Moumouni

Omar RIFAI est diplômé d’une maitrise dont la recherche porte sur la lutte contre la pauvreté dans le cadre des Objectifs du Millénaire sur le développement au nord du Liban. Il s'intéresse particulièrement à l’implantation des politiques globales et des « slogans-programmes » (lutte contre la pauvreté, bonne gouvernance, empowerment) dans les arènes locale.

Honorine Pegdwendé OUEDRAOGO / SAWADOGO est titulaire d’un Doctorat en sociologie, sous la direction de Richard Marcoux de l’Université Laval et la codirection de Docteure Fatoumata KINDA/BADINI de l’Université de Ouagadougou. Sa thèse porte sur « la pratique de la mendicité par les ‘‘mères de jumeaux’’ dans la ville de Ouagadougou : du symbolisme à la professionnalisation ». D’un fait culturel et symbolique, la pratique de la mendicité par les ‘‘mères de jumeaux’’ est devenue un phénomène social en milieu urbain vu son ampleur, sa complexité et son dynamisme. Ce qui l’amène à chercher à comprendre comment un fait culturel né dans un espace communautaire est réinterprété  dans un espace sociétaire moderne qu’est la ville. Thèse soutenue en 2020, disponible ici

Harrold BABON a obtenu une Maîtrise en science politique, concentration politique internationale et droit international sous la direction d'Issiaka Mandé. Son travail dirigé avait pour titre: “L'analyse du rôle de la médiation internationale dans la résolution de la crise anglophone au Cameroun". Actuellement, ses travaux portent sur le néonationalisme africain en tant que chercheur indépendant. 

Mathilde GOUIN-BONENFANT : Après avoir complété un baccalauréat en études internationales, Mathilde a poursuivi ses études à la maîtrise en anthropologie à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la rencontre interculturelle dans les contextes de bénévolat international et de coopération internationale. À travers ces recherches, elle aborde ainsi la communication interculturelle et le développement de compétences interculturelles. Ses autres intérêts de recherche portent sur les langues et la musique hip-hop en Afrique de l’Ouest, notamment au Sénégal.

Gabrielle BARDALL a soutenu un doctorat de science politique à l’université de Montréal en 2016, sous la direction de Mamoudou Gazibo, André Blais et Marie-Joelle Zahar. Elle possède une dizaine d'années d'expérience dans le soutien de processus électoraux au sein d'États en transition. Elle a travaillé dans plus de 20 pays auprès des organisations internationales dont le PNUD, ONU-Femmes, DPKO, IFES, Carter Center et autres. Motivée par son expérience professionnelle, sa recherche explore la démocratisation et les violences électorales en Afrique subsaharienne. Elle était boursière de la Fondation Trudeau.

Anthony GRÉGOIRE a obtenu un doctorat en cotutelle en anthropologie, à l’Université de Montréal (sous la direction de M. Bob W. White), et en ethnomusicologie, à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) de Paris (sous la direction de M. Denis Laborde). Ses recherches, financées par le Fonds de recherche du Québec – Société et culture (FRQSC), portent sur les modalités d’appropriation de pratiques musicales occidentales en milieu catholique chez les Sérères noon du Sénégal et visent à comprendre comment le processus d’acculturation agit sur l’identité culturelle. Il propose alors de reconsidérer le travail d’archives sur l’histoire et l’expérience coloniale et missionnaire afin de repenser les modèles classiques sur le syncrétisme et l’acculturation et pour, finalement, comprendre la construction d’une identité culturelle syncrétique. Ses champs d’intérêt se situent autour du processus de création, de la performance, de l’identité et de la représentation de la collectivité dans la mise en acte du répertoire musical.

Lindsay Aïda Gueï est titulaire d’une maîtrise en communication publique — journalisme international à l’Université Laval. Sous la direction de Charles Moumouni, elle a réalisé un rapport réflexif sur le thème suivant : femmes africaines et médias spécialisés. Sous la forme d’une étude de cas, elle s’est intéressée au nouveau talk-show 100 % féminin et panafricain, Le Chœur des femmes, diffusé sur Canal+ Elles dans 25 pays africains. Dans le cadre de sa recherche, elle a décidé de se pencher sur l’enjeu professionnel que pouvaient vivre les chroniqueuses d’émission féminine africaine, à savoir, la possibilité de s’auto-censurer lors des prises de paroles en raison du poids de la culture et des traditions encore pesant dans les différentes sociétés africaines.

Anne-Laure MAHÉ a soutenu un doctorat en science politique à l’Université de Montréal en 2017 sous la direction de Mamoudou Gazibo. Elle travaille sur la question des régimes autoritaires et plus particulièrement celle de leur résilience en particulier dans le cas du Soudan.

Titre thèse: « Expliquer le maintien des autoritarismes après la troisième vague de démocratisation: dynamiques de l'autorité et du consentement dans l'ordre politique autoritaire ». Thèmes de recherche : régimes autoritaires, régimes hybrides, processus de démocratisation. 

Roromme CHANTAL a soutenu, en 2016, une thèse de doctorat de science politique à l’Université de Montréal sur la montée en puissance de la Chine sous la direction de Mamoudou Gazibo. Il possède une expérience de plus d’une dizaine d’années comme journaliste en Haïti et ancien fonctionnaire des Nations unies (PNUD). Il est le co-auteur (avec Mamoudou Gazibo) du livre Un nouvel ordre mondial made in China?, publié en 2010 aux Presses de l’Université de Montréal (PUM). Thèmes de recherche : politique extérieure de la Chine, relations Chine-États-Unis, Chine-Amérique latine.

Joanie THIBAULT-COUTURE a soutenu un doctorat au Département de science politique de l’Université de Montréal en 2017, sous la direction de Mamoudou Gazibo. Elle travaille sur les questions liées aux identités ethniques et nationales en Afrique du Sud. Plus précisément, ses recherches portent sur le renouveau du nationalisme afrikaner dans le contexte de l’Afrique du Sud démocratique. Sa thèse est intitulée : « Un peuple se sauve lui-même : Solidarity et le nouvel activisme Afrikaner en Afrique du Sud ». Thèmes de recherche : nationalisme, ethnicité, dynamiques politiques sud-africaines.

Georges OLONGO a obtenu une maitrise en science politique à l'Université de Montréal en 2014 sous la direction de Mamoudou Gazibo. Son mémoire s’intitule : « Se battre ou ne pas se battre : Comment les appuis externes affectent la guerre civile ». Thèmes de recherche : relations internationales (sino-africaines), développement économique, dynamique des conflits armés.

Iara Binta Lima MACHADO a obtenu une maîtrise en Science politique à l’Université de Montréal, sous la direction de Mamoudou Gazibo en 2016. Depuis le début de ses études universitaires, elle s’intéresse aux relations entre l’Afrique et les pays émergents, particulièrement le Brésil. Thèmes de recherche : politique extérieure du Brésil, les relations Afrique-monde émergent, relations Brésil-Afrique.

Youssef BENZOUINE a obtenu une maîtrise en science politique à l'Université de Montréal en 2017 sous la direction de Mamoudou Gazibo. Son sujet de recherche porte sur la nature de la relation entre ONG travaillant avec les populations exclues (mères célibataires) et État au Maroc. Thèmes de recherche : relation ONG-État dans les pays émergents, expressions du pouvoir, discours du développement.

Laurence BODJRENOU a obtenu une maitrise en études internationales à l'Université de Montréal sous la direction de Mamoudou Gazibo en 2016. Son sujet de recherche porte sur  les liens entre régime politique et gouvernance : les cas du Benin et du Rwanda. Thèmes de recherche : politique africaine, facteurs de développement sociaux économiques en Afrique.

Julien MORENCY-LAFLAMME a soutenu un doctorat au Département de Science Politique de l’Université de Montréal en 2016 sous la direction de Diane Éthier, Mamoudou Gazibo et Théodore McLauchlin. Ses recherches doctorales se penchent sur les décisions des forces armées durant les crises institutionnelles des régimes autoritaires. Sa thèse est intitulée: « Democratization in Africa: A Study of the Armed Forces’ Influence ». Thèmes de recherche: relations civilo-militaires, transitions démocratiques, résilience autoritaire, Afrique de l’Ouest, Bénin, Togo.