GIERSA, Groupe interuniversitaire d’études et de recherches sur les sociétés africaines

Groupe interuniversitaire d’études et de recherches sur les sociétés africaines

PARTENAIRES

Université Laval Université de Montréal Université du Québec à Montréal

Le GIERSA bénéficie du programme « Soutien aux équipes de recherche » du
Fonds de recherche Société et culture, gourvernement du Québec

Nos étudiant.e.s actuel.le.s

Ibrahima Massagninni KONE est doctorant en communication publique à l’Université Laval. Titulaire d’un master de recherche en communication des organisations, obtenu à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, il réalise sous la direction de Charles Moumouni une thèse sur « les relations publiques et la gestion de la réputation des organisations internationales : Cas de l’Organisation des villes du patrimoine mondial ». Il s’intéresse aux questions liées à la communication des organisations, notamment les relations publiques, la communication publicitaire, la communication numérique, la communication pour le changement de comportement. "

Adam BEN ABDALLAH est doctorant au département de science politique de l’Université de Montréal sous la direction de Mamoudou Gazibo. Sa recherche porte sur les relations entre la Chine et les pays d'Afrique du Nord à l’orée de la Nouvelle Route de la Soie. Titulaire d'une licence en sciences humaines appliquées à l'Université Grenoble-Alpes ainsi que d'une maîtrise en science politique, relations internationales et diplomatie à l'Université Européenne de Tunis, Adam BEN ABDALLAH a travaillé à l'antenne tunisienne d'Amnesty International, à l'Institut Tunisien des Études Stratégiques ainsi qu'au Ministère des Affaires Étrangères de la République tunisienne. Rédacteur à la revue du Comité des Affaires internationales de l'Université de Montréal, il s'intéresse particulièrement à l'influence croissante de la Chine en Afrique et dans le monde arabe.

Salifou BRISSO est doctorant en sociologie  à l’EDP-UAC au Bénin sous la codirection de Charles Moumouni et d'Abou Bakari Imorou. Titulaire d'une Licence en Planification et gestion des projets de l’ENEAM(ex INE), d’un master 1 en Pilotage et gestion des systèmes éducatifs de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, et Maître es Science en Analyse et Développement des Organisations de l’ENAP-Montréal, Salifou a travaillé pendant 20 ans pour l’administration publique au Bénin: chef de service et coordonnateurs de programme pour le compte du Ministère de l’Education Nationale et Directeur de la programmation et de la prospective pour le Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération. De retour aux études, Salifou s'intéresse à la prise en compte des réalités endogènes dans la gouvernance des politiques de développement en Afrique. Son projet porte sur : « la gouvernance des politiques de développement face aux réalités endogènes : cas de Alafia 2025 au Bénin».

Anjeza BREGAJ est candidate au doctorat en science politique, à l’Université de Montréal. Elle rédige une thèse sous la direction de Mamoudou Gazibo, portant sur l’intervention militaire humanitaire dans des cas de violations massives des droits de l’homme, en se concentrant sur la position américaine dans les cas du Rwanda, du Kosovo, et du Darfour.

Mohamed YOUNOUSS est doctorant en Science Politique à l’Université du Québec à Montréal. Titulaire d’un master de recherche en Science Politique, obtenu à l’Université de Ngaoundéré au Cameroun, il réalise sous la direction d'Issiaka Mandé une thèse portant sur « La Participation politique de la diaspora camerounaise à la vie nationale : cas du Canada ». Il s’intéresse aux questions liées à la diaspora africaine et aux différents enjeux de l’immigration.

Nicolas KLINGELSCHMITT est candidat au doctorat en science politique à l’UQAM sous la direction d'Issiaka Mandé. Il est titulaire d’un master en droit public et relations internationales - mention gestion de programmes internationaux de l’Université Lyon 3. Il est chercheur en résidence et coordonnateur du Centre FrancoPaix de la Chaire Raoul Dandurand en études stratégiques. Ses recherches, soutenues par le Fonds de Recherche du Québec en Société et Culture, portent sur la coopération multilatérale africaine dans le domaine de la paix et de la sécurité. Il est également auteur pour Les Clés du Moyen-Orient. Avant son doctorat, il a été consultant pendant deux ans au sein de l’Institut Afrique Monde, à Paris, où il a entre autres réalisé des études sur le dialogue interreligieux dans la prévention des conflits en Afrique de l’Ouest et sur les migrations Afrique-Europe

Hermann-Habib KIBANGOU est doctorant en sociologie à l’Université Laval, sous la direction de Richard MARCOUX. Il est diplômé en philosophie (Faculté de Philosophie St Pierre Canisius, Kinshasa/RDC), sociologie-anthropologie (Université Catholique d’Afrique Centrale, Yaoundé/Cameroun), théologie (Universidad Pontificia Comillas, Madrid/Espagne) et éthique sociale (Boston College/USA). Anciennement chargé d’études au Centre d’Etude et de Formation pour le Développement (CEFOD/N’Djaména), ses travaux portent sur “Le marché de l’emploi au Tchad et les facteurs de blocage à son accès”. Ses champs de recherche sont la politique africaine, les industries extractives, et la justice économique et sociale.

Fabrice Mukendi est étudiant au doctorat à l’Université du Québec à Montréal en science politique sous la codirection d'Issiaka Mandé et de Mark Purdon.  Il est titulaire d’une maîtrise en Administration Publique de l’University of the West of Scotland. Ses recherches s’articulent autour de l’étude des politiques publiques et de la politique énergétique-ressources naturelles. Son projet de thèse doctorale porte sur l’inertie et le changement politique dans le secteur énergétique en RD Congo et au Canada, avec une analyse particulière des enjeux de la transition énergétique, la décarbonation et la dépendance au sentier liée à l’utilisation des combustibles fossiles.  
 

Ibrahima AHMADOU est étudiant au doctorat en science politique à l'Université du Québec à Montréal sous la supervision d'Issiaka Mandé. Ibrahima est titulaire d'un Master en histoire politique et relations internationales obtenu à l'Université de Ngaoundéré. Dans une approche comparative, il s'intéresse aux politiques publiques de gestion de la diversité au Cameroun et au Canada. 

Yssoufou SAGNON est doctorant en communication publique à l’Université Laval. Titulaire d’une licence en Lettres Modernes à l’Université Joseph Ki-Zerbo et d’un master de recherche en Sciences de l’information et de la communication à l’Institut panafricain d’étude et de recherche sur les médias, l’information et la communication (IPERMIC), il réalise sous la direction de Charles Moumouni une thèse sur « la communication publique et la sécurité : analyse des enjeux communicationnels de l’extrémisme violent ». Ses intérêts de recherche portent notamment sur les enjeux sécuritaires, la communication pour le développement, la publicité sociale, le numérique.

Daouda Madou KEITA est étudiant de Master au Laboratoire Mixte International (LMI) MaCoTer et titulaire d’une Licence en Sociologie à l’Université de Bamako (ULSHB). Ses recherches intitulées « ONG et services publics autour de l’Education et la Santé dans la commune rurale du Mandé » menées sous la direction de Sadio Soukouna visent à comprendre et interpréter la manière dont les organisations non gouvernementales palissent le vide créé par le processus de la  décentralisation au Mali via le fonctionnement et l’offre des services sociaux de base notamment l’éducation et la santé. 

Ndiankou MBENGUE est doctorant en Diplomatie et stratégie au CEDS ( Centre Diplomatique et Stratégique de Dakar). Titulaire d’un master de recherche en Droit Public option Relations internationales , obtenu à l’Université du Sahel de Dakar, il réalise sous la direction de Charles Moumouni une thèse sur « Les défis de l’ harmonisation des systèmes normatifs en matière de cybersécurité en Afrique de l’Ouest  ». Il s’intéresse aux questions liées à lutte contre la cybercriminalité en Afrique, à la diplomatie internationale, aux relations internationales, à la géopolitique, à la géostratégies, à la défense et sécurité internationale et au droit public dans sa  généralité .

Ismaël TRAORÉ est doctorant en science politique à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Il est aussi titulaire d’une maîtrise en relations internationales, politique étrangère, coopération et développement obtenu dans la même université – UQAM. Par ailleurs, il dispose d’une maîtrise en Droit public de l’Université Saint Thomas d’Aquin (Burkina Faso). Ismaël réalise sous la direction d'Issiaka Mandé, des travaux qui s’intéressent à l’impact des questions sécuritaires sur les questions d’intégration dans le contexte de l’Afrique de l’Ouest. 

Elauge NIKIÈMA est titulaire d’une maitrise en philosophie et d’un master en Études Africaines. Il réalise actuellement un doctorat en histoire contemporaine à l’Université de Genève sous la co-direction d'Alexander Keese de l’Unige et d'Issiaka Mandé de l’UQAM. Dans le cadre de son doctorat, il s'interesse à l’expression ambivalente de l’identité sociale au Burkina Faso de 1919 à 2014. Parmi ses thèmes d'intérêt de recherche on retient: histoire politique du Burkina Faso; Ethnicité et gouvernementalité postcoloniale; Mouvements sociaux; Études postcoloniales et décoloniales et Néocolonialisme français

Jean Aristide BONKOUNGOU est doctorant en droit à l’UQÀM sous la direction de Ndeye Dieynaba Ndiaye. Il a effectué ses études antérieures de droit au Burkina Faso, à l'Institut Polytechnique privé Shalom (IPS) et à L'Institut Supérieur de Droit International et des droits de l'Homme (ISDIH ) et en Suisse, à l'Institut de Hautes Etudes Internationales et du Développement de Genève. Il manifeste un intérêt particulier pour le droit international public , les droits de l'homme et le droit international de la migration. 

 

Yssoufou SAGNON est doctorant en communication publique à l’Université Laval. Titulaire d’un master de recherche en Sciences de l’information et de la communication à l’Institut panafricain d’étude et de recherche sur les médias, l’information et la communication (IPERMIC) rattaché à l’Université Joseph Ki-Zerbo, il réalise sous la codirection de Charles Moumouni et de Pénélope Daignault une thèse sur les enjeux communicationnels de l’extrémisme violent, notamment les mécanismes de collaboration entre les parties prenantes impliquées dans la prévention et la lutte contre l’extrémisme violent au Burkina Faso. Ses intérêts de recherche portent notamment sur les enjeux sécuritaires, la communication pour le développement, la publicité sociale et le numérique.

Amadou DIOP SALL est doctorant en administration et politiques de l’éducation à l’Université Laval, sous la direction d'Abdoulaye Anne. Il a un master 2 en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, un MBA en ingénierie et gestion de la formation au CESAG de Dakar et une maîtrise en administration publique à l’ENAP de Québec. Il est également titulaire d’un certificat en leadership dans le cadre du programme des leaders africains de demain. Ses travaux portent sur l'analyse du rôle de médiation des inspections de l'éducation et de la formation (IEF) dans la mise en oeuvre de la GAR au sein des écoles élémentaires du Sénégal. 

Jean Paul NGELEKA est étudiant à la maîtrise en sociologie à l'Université de Montréal sous la direction d'Anne Calvès. Sa recherche porte sur l'entrepreneuriat féminin en RDC : Cas des femmes entrepreneures de Mbujimayi. Elle vise à documenter les expériences des femmes entrepreneures de la ville de Mbujimayi en R.D.C en rapport avec la lutte contre la pauvreté, la question des inégalités et de l'autonomie vis-à-vis de toutes les contraintes socioculturelles et de la vision néolibérales de performance. Le projet tend à contraster les expériences et les perceptions des femmes entrepreneures, jeunes et moins jeunes, ayant un parcours de réussite dans leurs activités commerciales.

Serigne Babacar FALL est doctorant en administration et politique de l'éducation au Département des fondements et pratiques en éducation de l'Université Laval, sous la direction d'Abdoulaye Anne. Il prépare une thèse intitulée: "La gouvernance des universités francophones post-covid : enjeux présents, défis futurs. Étude de cas de l’Université Laval (Québec) et de l’Université Senghor d’Alexandrie (Égypte)". Titulaire d'un Master en Communication et Médias à l'Université Senghor d'Alexandrie et conseiller au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche du Sénégal, il s'intéresse aux questions de gouvernance, de recrutement et de justice sociale dans les établissements d'enseignement supérieur. 

Catherine D’AVIGNON est étudiante à la maitrise en sociologie à l’Université de Montréal, sous la direction d’Anne Calvès. Titulaire d’un baccalauréat en Développement international et comptant plusieurs années d’expérience de travail dans le domaine de la gestion de projet de santé reproductive pour des organisations internationales, elle s’intéresse à l’évolution des enjeux des programmes de santé reproductive depuis la CIPD du Caire de 1994 à travers une étude de cas sur la situation des programmes de planification familiale en Haïti. 

Madon AWISSI est doctorante en sociologie de l'UdeM sous la direction d'Anne Calvès. Titulaire d'un master en statistique de l'Université McGill, d'un DEA en Population et Développement de l’Institut de Formation et de Recherche en Population, Développement et Santé de la Reproduction (IFRPDSR) de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Madon Awissi a travaillé pendant 12 ans à l'Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) du Sénégal. De retour aux études, Madon Awissi s'intéresse à la question de la division sexuelle du travail au sein des capitales de Dakar et de Lomé. Son projet de recherche porte sur les trajectoires professionnelles des femmes urbaines et des stratégies qu'elles ont mis en oeuvre pour composer avec les contraintes domestiques qui leur sont assignées pour s'insérer sur le marché du travail, s'y maintenir et y évoluer.

Après une licence en économie et relations internationales à l'Université Ipek et à l'Université Hacettepe à Ankara, en Turquie, Lema ABDOU RAHIM a obtenu une maîtrise en études chinoises à Yenching Academy de l'Université de Pékin. Il est aujourd'hui doctorant et boussier Vanier à l'Université de Montréal. Sa recherche doctorale s'inscrit sur le lien sécurité-développement dans les relations sino-africaines sous la direction de Mamoudou Gazibo.  

Sabine NADEMBEGA est titulaire d’une maitrise en sociologie à l’université de Ouagadougou. Ses domaines privilégiés de recherche portent sur la sociologie rurale précisément sur les questions relatives aux innovations agricoles, genre, l’agriculture féminine et à la sécurité alimentaire. Actuellement elle poursuit ses études au doctorat de sociologie à l’université Laval sous  la direction de Richard Marcoux, sur les  dynamiques familiales, genre et travail agricole dans un contexte de changement climatique au Burkina Faso. Sa thèse vise à comprendre l’impact de l’organisation sociale familiale sur la production des champs individuels des femmes qui tout comme l’ensemble des cultivateurs sahéliens doivent faire face aux effets néfastes des changements climatiques.

 

Amabilly Bonacina est doctorante en Science politique à l’Université de Montréal, sous la direction de Mamoudou Gazibo. Ses recherches portent sur la coopération entre la Chine et les pays africains dans le cadre de l’Initiative Belt and Road. Ses champs d’intérêt sont les Relations internationales, la Coopération Sud-Sud et les politiques de développement sur le continent africain.

Moutaa Amine EL WAER est doctorant au département de sociologie à l’UdeM, sous la direction d'Anne Calvès et Pascale Dufour. Sa recherche de maîtrise portait sur les trajectoires des militant-e-s estudiantin-e-s en Tunisie à l’Université Paris Dauphine. Son projet de recherche doctoral porte sur les transformations de la gouvernementalité de l’université et du mouvement étudiant dans un contexte de crises politiques en Tunisie. Il s’intéresse également aux résistances des populations subalternes face aux injustices qu'elles vivent. Dans ce cadre, il a participé à une recherche sur les discriminations raciales subies par les noir-e-s Tunisien-e-s. Actuellement il mène une enquête sur l’expérience d’exploitation et d’oppression que vivent les travailleur-se-s racisé-e-s dans un milieu de travail précaire au Québec.

Gamou DIOUF TALL est titulaire d’une maitrise en sociologie de l’université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal) et d’un DEA en démographie du Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris/ Université de Paris 1. Elle dispose d’une expérience dans le développement local pour avoir coordonné le programme de lutte contre la pauvreté des femmes avec la Fondation Magdala (Espagne) à Saint-Louis. Doctorante en sociologie, son sujet de thèse porte sur la fécondité des familles polygames dans un contexte de précarité économique à Dakar au Sénégal. Elle s’interroge sur la persistance de la polygamie en ville et les logiques qui sou tendent le projet des familles concernées par ce type d’union. Son travail est dirigé par Richard Marcoux. 

Delwendé Brice Rodrigue SORGHO est titulaire d’une Maîtrise en Sociologie obtenue à l’Université de Ouagadougou et d’un DESS en aménagement et gestion intégrés des forêts et territoires tropicaux de l’ERAIFT, une école régionale de l’UNESCO basée à l’Université de Kinshasa. Il dispose d’expériences acquises au sein d’organisations nationales et internationales. Il a occupé, plus récemment, à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les postes d’Assistant de projets (VIF) puis d'Expert-consultant chargé du suivi de la mise en œuvre du Programme francophone d’appui au développement local en Afrique centrale. Doctorant en Sociologie sous la direction de Richard Marcoux, ses recherches portent sur les dynamiques linguistiques familiales et scolaires en milieu urbain burkinabè.

Louise-Andrée BOUDREAULT est étudiante à la maîtrise en sociologie à l’Université de Montréal sous la direction d’Anne Calvès. Ses recherches portent sur l’utilisation des réseaux sociaux dans la lutte contre les violences sexuelles. Elle explore l’émergence d’initiatives numériques incitant à dénoncer le harcèlement et les agressions sexuelles au Sénégal depuis le mouvement Me Too. 

 

Après un Master 2 en droit de l’environnement et de la responsabilité sociétale des entreprises de l’Université Paris-Saclay, Joël-Michée DJEDJE a acquis des expériences professionnelles aux seins de  multinationales et ONG  africaines concernant ces domaines en abordant l’angle communicationnel. Il poursuit actuellement un doctorat en communication publique sous la direction de Charles Moumouni.  Ses recherches portent sur l’impact de la communication dans la responsabilité sociale et environnementale dans les entreprises.

Siméon Roland EKODO MVENG est  diplômé de l’Université de Yaoundé II et titulaire d’un Master en Science politique. Chercheur à la Fondation Paul Ango Éla de Géopolitique en Afrique Centrale, il est consultant et membre conjoint de la Société Québécoise de Science Politique et de l’Association Canadienne de Science Politique. Ses travaux portent  notamment sur les élections, les conflits politiques en Afrique, les pays émergents et la géopolitique des changements climatiques. Il est actuellement  Doctorant en Science politique à l’Université de Québec A Montréal. Il travaille sur la thématique du Vote en Afrique sous la codirection d'Issiaka Mandé  et Mamadou Gazibo.

Maude Jodoin LÉVEILLÉE est diplômée d’un maitrise en Études internationales, profil coopération et développement. Elle poursuit actuellement ses études doctorales au département de sociologie de l’Université de Montréal sous la direction d’Anne Calvès. Ses recherches portent sur les projets de développement visant l’autonomisation des femmes en milieu urbain togolais. 

Dine Charles Biradzem est étudiant au doctorat en sciences humaines appliquées – Université de Montréal sous la direction de Dany Rondeau et Bob White. Ses intérêts de recherche portent entre autres sur l'éthique appliquée/bioéthique, la diversité culturelle/justice sociale, et les inégalités de la santé. Sa thèse titrée “Ethical governance and health inequalities: the case of malaria in sub-Saharan Africa”, questionne les raisons pour lesquelles au XXIe siècle, la malaria reste encore la maladie la plus mortelle en Afrique subsaharienne, et le fait que les inégalités, face à la  mortalité notamment, ne cessent de croître. Le projet vise à proposer et démontrer une stratégie qui utilise « ethical governance in healthcare » pour orienter les initiatives ‘antimalarial’ vers « equitable health equality », ambitionnant les résultats plus efficaces.

Malika DANICAN est candidate au doctorat en sociologie à l’Université Laval sous la direction de Richard Marcoux et en démographie à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne,  sous la direction de Virginie  Barrusse, dans le cadre d’un programme de cotutelle. Elle est titulaire d’une maîtrise en science politique de l’Université du Québec à Montréal. Ses travaux portent sur la mise en place et les effets des politiques de population en contexte ouest-africain et dans les départements français d’outre-mer. Sa thèse s’intéresse à la politique migratoire des Français d’outre-mer vers la France hexagonale, les opportunités qu'elle offre et contraintes qu'elle implique, notamment sur les individus en mobilité et leur entourage. Malika souhaite croiser une analyse politiste à une approche démographique, tout en restant sensible aux répercussions sociales.

Epiphane Serge METOGNON est titulaire d'une maîtrise en sociologie-anthropologie de la communication de l'Université d'Abomey-Calavi (Bénin) et d'un Diplôme d'Etudes Professionnelles Approfondies en Gestion du Patrimoine Culturel (option Communication culturelle) obtenu à l'Université Senghor d'Alexandrie d'Egypte.Ses domaines de recherche privilégiés portent notamment sur les enjeux liés à la valorisation et à la communication du patrimoine culturel africain ainsi qu'aux industries culturelles africaines dans le contexte de la mondialisation et de la digitalisation de l'économie. Doctorant au Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) de Dakar, son sujet de thèse porte sur les enjeux de la diplomatie culturelle dans les relations internationales des Etats africains à partir du cas de la République du Bénin, sous la co-direction de Charles Moumouni.